Et si tu veux aller plus loin dans l’expérience, jeter un œil à des https://vacancescreatives.com peut t’ouvrir encore d’autres pistes bien cool pour combiner voyage et créativité. Y’a des idées qu’on n’aurait même pas imaginées !

Berlin : la reine du freestyle créatif

Berlin, c’est un peu la grande sœur punk de l’Europe. Rien que se balader dans Kreuzberg ou Neukölln, c’est déjà une immersion dans une sorte de musée à ciel ouvert. Des fresques, des installations, du street art partout (oui, même sur les lampadaires). Tu marches dix minutes, t’as déjà envie de ressortir ton carnet de croquis ou de monter un podcast underground. True story.

Si t’es branché photo, c’est un rêve éveillé. Entre les friches industrielles, les clubs installés dans des usines désaffectées et les gens habillés comme s’ils sortaient d’un clip de Björk, l’inspiration visuelle est juste dingue. Perso, j’ai eu un coup de cœur pour la galerie Urban Nation – un musée dédié au street art, gratuit et hyper vivant.

Et puis les espaces de coworking alternatifs, les cafés avec machines à coudre en libre service (oui, ça existe), les marchés vintage… Clairement, Berlin te donne l’élan de créer, sans te juger. La seule limite, c’est ton énergie (et un peu ton budget Uber, parce que la ville est étendue).

Amsterdam : poétique, concentrée et pleine de bonnes vibes

Ahhh Amsterdam… Là, on change totalement d’ambiance. Ici, la créativité est plus douce, plus design, plus contemplative. T’as envie de faire de l’aquarelle en regardant les canaux, ou d’écrire un carnet de voyage dans un café cozy du Jordaan. T’es d’accord ? Y’a un truc presque méditatif dans cette ville.

Côté lieux inspirants, mention spéciale au musée Moco, qui mêle street art et œuvres contemporaines façon Banksy & co. Mais aussi à De School, une ancienne école transformée en club, galerie, resto et espace artistique hybride. Très néerlandais dans l’approche : efficace, propre, mais jamais chiant.

Et puis les gens ici sont… franchement cools. Pas dans le sens “on fait tous du skate en buvant des matchas”, mais plutôt “on vit bien, on aime l’art, et on est relax”. Ça fait du bien. Si tu veux un city trip pour te recentrer tout en nourrissant ton imagination, c’est ici.

Budapest : la surprise brute et inspirante

Budapest, c’est un peu le joker du trio. On y pense pas forcément comme destination créative, et pourtant… moi, ça m’a retourné. Y’a une énergie brute, presque chaotique parfois, mais justement, ça bouscule les idées reçues.

Les fameux “ruin bars”, comme le Szimpla Kert, c’est clairement le symbole de cette créativité urbaine récup’ qui ne cherche pas à faire joli, mais à faire vrai. Du mobilier recyclé, des expos improvisées, des concerts qui partent dans tous les sens. T’as l’impression que tout peut arriver.

Le quartier juif, avec ses petites galeries indépendantes, ses boutiques d’artisans et ses cafés où tu peux croiser un groupe de théâtre alternatif en train de répéter, m’a vraiment surpris. Y’a aussi tout un mouvement jeune autour de l’illustration et de la BD. J’étais tombé sur un mini festival dans un café librairie, complètement par hasard. Ce genre de moment qui te colle un sourire pendant trois jours.

Alors, laquelle choisir ?

Ça dépend ce que tu cherches, vraiment. Si tu veux te faire secouer, tester des trucs nouveaux, fonce à Berlin. Si tu veux rêver en douceur, te nourrir d’esthétique et de bien-être, cap sur Amsterdam. Et si t’es en quête de sensations plus brutes, de créativité spontanée, voire un peu bordélique (dans le bon sens), Budapest peut carrément te surprendre.

Et toi, t’as déjà testé l’une de ces villes pour un trip un peu artistique ? Tu t’y es senti inspiré, bousculé, transformé ? Franchement, y’a pas de bon ou mauvais choix. Juste celui qui colle à ton moment du présent.

D’ailleurs, si tu veux fouiller un peu plus pour trouver des campings sympas, je te conseille ce site : https://www.vacances-au-camping.fr. Il est bien foutu, simple, et tu peux filtrer par région ou par prix. Pratique quand tu sais à peu près où tu veux aller, mais que tu refuses de payer 80€ la nuit pour planter une tente.

1. Le Lac de Bolsena : pépite tranquille au nord de Rome

Moins connu que le lac de Côme ou le lac Majeur, le lac de Bolsena est une vraie surprise. Ambiance douce, villages perchés, baignade dans une eau claire… et des campings à 20-30€ la nuit pour deux, en pleine saison. C’est pas donné ? Si. Surtout quand tu peux te réveiller face au lac, café à la main, sans entendre un bus de touristes déverser ses passagers à 9h.

Le Camping Lido, par exemple, a ce petit air de vacances simples à l’italienne. Pas de chichi, mais accès direct à l’eau et resto-pizzeria à deux pas. Et puis c’est bien placé pour rayonner vers Orvieto ou Viterbe.

2. Les Abruzzes : nature sauvage et tarifs doux

Tu connais pas encore les Abruzzes ? Bah voilà, c’est pour ça que c’est encore accessible. Cette région à l’est de Rome, coincée entre mer Adriatique et montagnes, est un bijou sous-coté. Randos dans le parc national, baignades dans les rivières, villages médiévaux… et des campings à prix mini.

Perso, j’ai campé près de Sulmona, dans un coin paumé avec vue sur les sommets. Le terrain était simple, un peu rustique, mais avec des sanitaires propres et des proprios adorables. On a payé 22€ la nuit pour deux, tente comprise. Franchement imbattable.

3. Le Gargano (Pouilles) : l’Italie du Sud sans l’overdose de touristes

Tu veux du soleil, la mer turquoise, des falaises blanches… sans les prix de Capri ou Amalfi ? Le Gargano est pour toi. C’est cette petite péninsule au nord des Pouilles, souvent zappée par les voyageurs qui foncent plus au sud. Et pourtant, c’est sublime.

Autour de Vieste ou Peschici, tu trouves plein de petits campings familiaux, souvent en bord de mer, avec des prix autour de 25-30€ la nuit. Le top ? Beaucoup ont des coins ombragés (merci les pins !), parfaits pour l’été.

4. Le Piémont : entre vignes, lacs et tranquillité

On parle souvent de la Toscane, mais le Piémont, c’est un peu son cousin discret… et bien moins cher. Collines de vignes, petits lacs (celui d’Orta est à tomber), villages calmes et peu de monde, même en août.

Il y a plusieurs campings autour du lac d’Orta qui valent le détour. Le Camping Cusio, par exemple, offre un vrai cadre nature, avec des emplacements à moins de 30€. Et tu peux aller te balader à pieds jusqu’à Orta San Giulio, un bled magnifique où tu peux grignoter un panino au bord de l’eau.

5. La Sicile… mais loin des foules

Oui, la Sicile est à la mode. Mais pas partout. Oublie Taormina ou Cefalù (sauf si t’aimes les bains de foule) et pars explorer l’intérieur des terres ou le sud-est. Des coins comme la vallée de Noto, Ragusa ou même les Monts Iblei sont encore hyper accessibles.

On a trouvé un camping agri-touristique près de Modica, à 18€ la nuit. Petit coin de paradis, avec vue sur les oliviers, douches chaudes (gratuites, s’il vous plaît) et des tomates du jardin offertes à l’arrivée. Le genre d’endroit où tu restes deux nuits de plus sans l’avoir prévu.

En résumé ? Oui, on peut camper en Italie sans se ruiner

Il suffit juste de sortir un peu des sentiers battus, de ne pas s’arrêter aux premières pages de résultats Google, et de viser malin. L’Italie a encore des coins sauvages, simples, abordables, et incroyablement beaux.

Alors, t’as repéré ton coin pour planter ta tente cet été ?

Franchement, si tu veux te simplifier la vie pour préparer ton voyage en famille, je te conseille de jeter un œil à https://vacancestranquille.com. Le site propose pas mal de bons plans et de conseils bien concrets pour des vacances sans prise de tête. Testé et approuvé.

1. Copenhague, Danemark – le paradis scandinave des petits et des grands

Tu veux une ville où tout est pensé pour les familles ? Copenhague, c’est le jackpot. Déjà, les transports sont ultra pratiques. Les poussettes passent partout, les vélos cargo sont rois et tout le monde te sourit (oui, même les chauffeurs de bus).

Les enfants vont adorer Tivoli Gardens, un parc d’attractions en plein centre-ville avec un petit côté rétro magique. Et côté musées, le Experimentarium est une tuerie – on y passe facilement 3 heures sans voir le temps filer.

Petit plus : en été, les Danois se baignent dans les bassins du port, et c’est sécurisé, propre, surveillé. Bref, tout ce qu’on aime.

2. Barcelone, Espagne – soleil, tapas et parcs à gogo

Barcelone, c’est cette ville où tu peux alterner visite culturelle et bataille de sable… dans la même journée. Tu fais un tour au parc Güell le matin, tu grignotes des tapas sur la Rambla, et l’après-midi, hop, direction la plage. Et les enfants sont les bienvenus partout. Les restos te sortent une chaise haute avant même que t’aies demandé.

Le CosmoCaixa, le musée des sciences, est super interactif – même les ados accro à leur téléphone finissent par lever les yeux. Et puis, honnêtement, les Espagnols ont ce truc : ils aiment les enfants, ils ne le font pas juste pour la forme.

3. Ljubljana, Slovénie – petite capitale, gros coup de cœur

Tu veux éviter les foules, les prix fous, et les horaires de métro à rallonge ? Ljubljana est parfaite. La ville est compacte, piétonne, pleine de parcs et de glaciers artisanaux (on a tous nos priorités).

Le château sur la colline, accessible en funiculaire, fait son petit effet auprès des enfants. Et si t’as envie d’un peu de nature, le lac de Bled est à moins d’une heure – tu peux louer une barque, faire le tour en trottinette ou juste t’allonger sur l’herbe. Simple, efficace, charmant.

4. Amsterdam, Pays-Bas – musées fun et balades en bateau

On pense souvent qu’Amsterdam c’est pour les adultes. Mais non, c’est super kid-friendly aussi ! Déjà, le NEMO Science Museum : une sorte de vaisseau vert posé sur l’eau, avec des expériences à toucher, à construire, à renverser (volontairement).

Ensuite, tu peux faire une balade en bateau sur les canaux – les enfants adorent, surtout quand il y a un audioguide rigolo. Et si t’as de la chance, tu tomberas sur un des marchés en plein air où on trouve des crêpes géantes à tomber.

5. Lisbonne, Portugal – chaleur humaine et tramway vintage

Lisbonne avec des enfants, c’est un peu sportif (ça grimpe sec), mais ça vaut vraiment le coup. Les tramways jaunes, déjà, c’est l’attraction gratuite dans la rue. Ensuite, l’Oceanário – un des plus beaux aquariums d’Europe – est immense, calme, et vraiment bien fait.

Les Portugais sont adorables avec les enfants. Le service est détendu, on ne te regarde pas de travers si ton gamin renverse son jus. Et puis les pastéis de nata… qui peut dire non ?

6. Berlin, Allemagne – ville XXL, activités XXL

Berlin, c’est grand, c’est un peu brut… mais avec des enfants, c’est top. Le zoo est immense, les musées sont ultra variés (Muséum d’histoire naturelle = squelettes de dinosaures géants, tu vois le genre), et les aires de jeux sont partout, parfois avec des structures de 3 mètres de haut que t’oses à peine grimper toi-même.

Le Tiergarten est un poumon vert idéal pour un pique-nique, et les restos végétariens ou vegan proposent souvent des menus kids hyper sympas. Et bon, y’a même un musée des jeux vidéo. Voilà.

Et toi, t’irais où ?

T’as une autre destination kids-friendly en tête ? Ou un souvenir de galère à l’aéroport avec trois valises et une couche pleine à gérer ? Raconte. Voyager en famille, c’est tout sauf lisse, mais quand c’est bien préparé, ça peut devenir magique. Et l’Europe regorge de coins où petits et grands peuvent vraiment profiter.

Alors, prêts à boucler les sacs ?

Et si t’as besoin d’inspiration ou d’un coup de pouce logistique (genre logement moto-friendly ou idée de boucle sur mesure), fais un tour sur https://www.vacancesmoto.com. C’est clair, pratique, et ça peut franchement t’éviter de galérer.

Allez, casque vissé, moteur prêt ? Voici 9 idées béton pour prendre la route.

1. La Transfăgărășan, Roumanie

On commence fort. La Transfăgărășan, c’est LA route mythique. 90 km de virages de folie à travers les Carpates, des panoramas dignes d’un film, et un bitume globalement en bon état (même si faut rester vigilant par endroits).
Petit conseil : vise la période juillet-septembre, sinon c’est fermé à cause de la neige. Et pense à t’arrêter au lac Bâlea, c’est perché, littéralement.

2. La route des Grandes Alpes, France

Classique mais immanquable. Tu relis Lac Léman à la Méditerranée en passant par les plus hauts cols de France : Iseran, Galibier, Vars… C’est technique, c’est long (700 km environ), mais c’est une tuerie.
Par contre, prépare-toi à des changements de température de dingue en une journée. Et ne sous-estime pas les petits villages : certains ont des auberges parfaites pour une nuit reposante.

3. Les Dolomites, Italie

Si t’aimes les virages serrés et les paysages qui claquent, tu vas kiffer. Le col du Stelvio, le Giau, le Sella… chaque virage est une carte postale. C’est un peu sportif mais totalement accessible si tu prends ton temps.
Et entre deux sessions de conduite, tu manges une polenta crémeuse avec vue sur les sommets. Pas mal, non ?

4. La côte dalmate, Croatie

Une route qui longe la mer, des villages blancs, des criques turquoises… le tout sous le soleil. La côte croate, c’est la dolce vita version moto. Zadar, Split, Dubrovnik : tu peux tout faire à ton rythme, avec plein d’endroits où poser la bécane et se baigner.
Idéal pour les débutants aussi, parce que le relief est doux et la circulation raisonnable, surtout hors saison.

5. L’Irlande du Nord et la Causeway Coastal Route

Tu veux une ambiance plus brumeuse, plus verte, avec des falaises qui tombent droit dans l’océan ? Direction l’Irlande du Nord. La Causeway Coastal Route est ultra roulable, même si la météo fait un peu sa vie.
Ne rate pas les Giant’s Causeway et les petits pubs avec cheminée allumée même en juillet. Et oui, la Guinness est meilleure là-bas.

6. Le Tyrol autrichien

Le Tyrol, c’est une surprise. T’as des routes larges, des virages nets, et des paysages alpins à couper le souffle, mais aussi une vraie culture de l’accueil motard. Tu trouves des hôtels avec garages, outils à dispo, et même parfois sauna (après une journée de roulage, c’est pas du luxe).
Faut aimer les côtes et les descentes, mais franchement, c’est que du bonheur.

7. Le désert des Bardenas Reales, Espagne

Pas besoin d’aller en Arizona pour te sentir sur Mars. Ce parc naturel du nord de l’Espagne est sec, rouge, sauvage. C’est plus adapté à ceux qui roulent en trail ou en scrambler, parce qu’il y a des portions en terre battue, mais même une route partielle vaut le détour.
Et question ambiance, tu roules seul au monde. Le pied.

8. L’Alentejo, Portugal

L’Algarve est envahie, mais l’Alentejo reste authentique. Des collines, des villages blancs, des oliviers à perte de vue, et des routes tranquilles comme tout. C’est parfait pour un road trip détente, sans stress.
Fais une pause à Évora ou Monsaraz, prends un café en terrasse, et laisse la chaleur t’envahir. Ici, on roule lentement. Et c’est pas plus mal.

9. Les Highlands, Écosse

Pour les vrais rêveurs. Des routes sinueuses, des lochs mystérieux, des moutons en liberté, et cette lumière… unique. Prépare-toi à croiser 4 saisons dans la même journée, mais aussi à vivre des moments de silence total.
Et franchement, rouler sur la North Coast 500, ça te met des frissons (dans le bon sens du terme).

Alors, tu pars où ?

Voilà, t’as 9 idées solides pour ton prochain road trip moto en Europe. Que tu partes pour un long week-end ou pour deux semaines, il y a de quoi tracer, respirer, vibrer. Choisis ton style, prépare ton itinéraire… et surtout, profite de la route. Parce qu’au fond, c’est elle la vraie destination.

Allez, voici 7 villes européennes parfaites pour un week-end cool, beau et pas trop coûteux.

1. Porto, Portugal

Oui, Lisbonne c’est sympa. Mais Porto, franchement, c’est le bon plan. Moins de monde, plus de charme brut, et des prix plus doux. Une chambre d’hôtel correcte à 60€/nuit, des restos où tu manges du poisson frais pour 12€, et une balade dans les ruelles du quartier de la Ribeira qui vaut tous les musées du monde.
Petit tip : prends le tram 1 jusqu’à Foz do Douro pour une vue de carte postale… à 3€.

2. Cracovie, Pologne

Cracovie, c’est le genre de ville où tu passes un week-end entier sans jamais regarder ton compte bancaire. Une bière ? 2€. Un repas complet ? 8€. Et en plus, c’est joli, vivant, historique. Le centre est piéton, les bars ont une ambiance chaleureuse, et la place du marché est l’une des plus belles d’Europe.
Astuce : loge près de Kazimierz, l’ancien quartier juif. C’est moins cher et dix fois plus cool que les zones touristiques.

3. Valence, Espagne

On parle souvent de Barcelone, mais Valence, c’est la perle pas encore trop envahie. Tu y trouves la mer, l’architecture futuriste de Calatrava, des parcs immenses, et une vraie vie locale. Et puis les tapas sont à 3€, le soleil est souvent au rendez-vous, et les vols ne coûtent pas un bras.
En été, la plage de la Malvarrosa est parfaite pour chiller, sans la foule de la Costa Brava.

4. Sofia, Bulgarie

Tu ne l’avais peut-être pas sur ta liste ? Pourtant Sofia, c’est un petit bijou pour les voyageurs fauchés et curieux. L’ambiance est détendue, les restos sont pleins de plats typiques à prix mini (genre 6€ le plat complet), et tu peux même te faire un spa dans les montagnes voisines pour pas grand-chose.
Bonus : les transports sont simples et super abordables. Un ticket de métro ? 0,80€.

5. Thessalonique, Grèce

Si tu veux la Grèce sans la facture Mykonos, fonce à Thessalonique. C’est une ville étudiante, jeune, avec plein de cafés, de bars, de bonnes adresses. La mer est là, les couchers de soleil sont dingues, et tu peux manger du souvlaki pour 2,50€.
Le front de mer est parfait pour se balader en début de soirée… ou pour un apéro les pieds dans l’eau.

6. Vilnius, Lituanie

Vilnius a ce petit côté “secret bien gardé” que j’adore. Tout est à taille humaine, les gens sont cool, et les prix sont vraiment bas. Tu peux louer un appart en plein centre pour 40€, et manger dans un resto branché pour moins de 15€.
Le quartier d’Užupis est un must : c’est une “république artistique” autoproclamée, avec sa propre constitution affichée sur des plaques de verre. Un peu décalé, mais génial.

7. Palerme, Sicile

Ok, l’Italie n’est pas toujours donnée. Mais Palerme, c’est différent. C’est une ville populaire, bordélique (dans le bon sens), gourmande, pleine de marchés et de coins planqués. Tu peux dormir dans un B&B sympa pour 50€, manger un arancino pour 1,50€, et t’offrir un festin de fruits de mer sans flinguer ton budget.
Et franchement, se balader au coucher du soleil sur la Piazza Pretoria, c’est un kiff absolu.

Envie de partir ?

Tu vois, voyager en Europe sans se ruiner, c’est possible. Il suffit de viser juste, de sortir un peu des gros spots touristiques, et d’oser explorer autrement. Que ce soit pour un week-end spontané ou une vraie virée optimisée, ces villes ont de quoi te surprendre. Alors, tu pars où ce mois-ci ?

Base de loisirs : nature, liberté… et bronzette

Alors là, si t’aimes les ambiances plus cool, les après-midis à rallonge avec bouquin, paddle et ballon gonflable, la base de loisirs c’est un peu le spot parfait. On respire, on bouge, mais sans pression. Les enfants peuvent courir partout, s’éclater dans l’eau, faire de l’accrobranche ou du pédalo… pendant que toi, tu glandouilles sous un arbre (en théorie).

Un exemple concret ? La base de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines, pas loin de Paris, c’est un vrai bonheur. 600 hectares de verdure, un grand plan d’eau, des aires de jeux, du tir à l’arc, même du téléski nautique si tu veux faire genre “j’ai fait du sport ce week-end”. Et côté prix, c’est vraiment raisonnable. Surtout si tu viens avec ta glacière et ton plaid, t’as quasi rien à dépenser sur place.

Perso, j’aime bien le côté sans chichis. Tu poses ta serviette, tu choisis ton activité, tu fais ta vie. C’est pas trop bruyant (sauf l’été quand c’est blindé), et tu peux adapter le programme à ton rythme. T’as un bébé ? Pas de souci. Un ado ? Il trouvera forcément un truc à faire. Et toi ? Tu peux enfin lire 12 pages de ton bouquin sans être interrompu toutes les deux minutes.

Parc d’attractions : wahou, fun… et fatigue assurée

Maintenant, soyons honnêtes : les parcs d’attractions, c’est quand même un concentré de kiff. Montagnes russes, décors de ouf, mascottes, spectacles… Pour les enfants (et les adultes un peu restés gamins), c’est carrément magique. On en prend plein les yeux et plein les oreilles.

Mais… c’est aussi une journée ultra organisée. Faut arriver tôt, faire la queue, courir d’une attraction à l’autre, gérer la météo, les coups de chaud, les enfants excités, les fringues mouillées, les frites trop chères. Clairement, tu finis la journée vidé, heureux mais vidé. Genre, le lendemain, t’as besoin d’un jour OFF pour t’en remettre.

Et niveau budget, ben ça pique. Pour une famille de 4, entre l’entrée, les snacks, le parking, les souvenirs… tu peux vite claquer 200 balles. C’est pas rien.

Mais voilà : l’effet “wahou” est là. Surtout si tu vas dans un gros parc style Puy du Fou ou Parc Astérix. T’as des moments vraiment uniques, des spectacles impressionnants, et des souvenirs qui restent gravés longtemps. Même si t’as attendu 45 minutes pour faire 2 minutes de looping… ça valait le coup (parfois).

Alors, on choisit quoi ?

Franchement, tout dépend de ton mood et de tes enfants. Si tu veux une journée détente, pas trop chère, en plein air, avec de la marge pour improviser, la base de loisirs c’est top. Par contre, si tu veux les voir sauter de joie, les entendre crier “c’était trop bien !!!” à chaque attraction, et vivre un truc plus intense (mais épuisant), le parc d’attractions gagne haut la main.

Une astuce que j’ai testée : alterner. Une sortie parc un mois, une base le mois suivant. Comme ça, tout le monde est content, le porte-monnaie respire un peu, et tu diversifies les plaisirs. Et si t’as une base pas loin de chez toi, fonce : tu peux même y aller plusieurs fois dans l’été sans te ruiner.

Et toi, t’es plutôt toboggan géant ou looping dans les airs ?

Dis-moi franchement : tu préfères lézarder à l’ombre d’un arbre pendant que les enfants jouent au cerf-volant, ou tu veux les voir hurler de bonheur dans un grand huit ? Ou peut-être un peu des deux ?

Dans tous les cas, l’important c’est de passer un bon moment ensemble. Parce qu’au fond, que ce soit au bord d’un lac ou dans une file d’attente de manège, ce qui compte, c’est les fous rires et les souvenirs qu’on se crée en famille.

Jour 1 : Le cœur de Porto, entre azulejos, balades et Francesinha

Matin – S’en prendre plein les yeux dès le réveil

Commence tôt. Genre vers 8h30-9h. File direct à la gare de São Bento. Oui, une gare. Mais pas n’importe laquelle : ses murs sont recouverts de plus de 20 000 azulejos. Bleu et blanc, scène historiques… tu peux rester scotché dix bonnes minutes facile.

Ensuite, direction la Cathédrale de Porto (Sé). Pas loin, ça grimpe un peu, mais la vue depuis l’esplanade vaut le détour. C’est brut, un peu austère, mais tellement emblématique. En redescendant, perds-toi un peu dans le quartier de la Ribeira. C’est là que Porto commence vraiment à te charmer.

Midi – Déjeuner version rustique (et costaud)

Ok, maintenant il est temps de manger. Et à Porto, y’a une spécialité qui te met une claque (dans le bon sens) : la Francesinha. Un croque-monsieur bodybuildé, recouvert de fromage fondu, noyé dans une sauce à la bière et au piment. Va chez Café Santiago ou Brasão Cervejaria. Oui, c’est lourd. Mais c’est un passage obligé.

Après-midi – Pont, vin et chill au bord du Douro

Traverse le mythique pont Dom Luís I. Tu peux passer en haut ou en bas, mais franchement, en haut c’est plus waouh (et un peu flippant si t’as le vertige). De l’autre côté, t’arrives à Vila Nova de Gaia, le quartier des caves de vin de Porto.

Choisis une cave pas trop touristique (genre Burmester ou Sandeman) pour une petite visite + dégustation. Pas besoin d’être œnologue, le guide t’explique tout. Et boire du Porto avec vue sur la ville… honnêtement, c’est un kiff.

En fin de journée, pose-toi au bord du fleuve, du côté de Gaia. Prends un verre, regarde les rabelo (ces vieux bateaux plats) flotter doucement. La lumière dorée sur les façades colorées ? Carte postale.

Soir – Ambiance locale et petites assiettes

Pour dîner, évite les restos attrape-touristes de la Ribeira. Va plutôt vers Rua das Galerias de Paris ou Rua de Cândido dos Reis. C’est vivant, jeune, plein de bars-restos sympas. Teste des petiscos (la version portugaise des tapas) chez Tapas na Boca ou Taberna Santo António. Ambiance chill, prix honnêtes, cuisine maison.

Jour 2 : Vue panoramique, librairie magique et douceur de vivre

Matin – Brunch et claque visuelle

Commence en douceur avec un brunch au Época Café ou au Combi Coffee. Oui, c’est un peu hipster, mais le café est bon et le pain grillé à l’avocat ne fait pas semblant.

Ensuite, monte jusqu’aux Jardins do Palácio de Cristal. La balade est tranquille et la vue sur le Douro est juste… wow. Perso, je pourrais y passer des heures.

Milieu de journée – Plongée dans un décor de film

On ne va pas te mentir : l’entrée de la Livraria Lello est payante (5€), et y’a souvent du monde. Mais c’est l’une des plus belles librairies du monde. Escalier rouge en spirale, boiseries sculptées, verrière colorée… un vrai décor d’Harry Potter (sans exagérer). Et si t’achètes un livre, l’entrée est déduite.

Ensuite, descends vers la Torre dos Clérigos. 240 marches, ouais. Mais la vue panoramique au sommet est folle. T’as tout Porto sous les yeux.

Déjeuner – Pause cool et locale

Direction Casa Guedes pour un sandwich à la porchetta au fromage (ou “sandes de pernil” pour faire local). Simple, mais super savoureux. Pas cher, pas prétentieux, et ça cale bien.

Après-midi – Une dernière balade, un dernier café

Selon ton heure de départ, prends le temps de flâner dans le quartier de Bolhão. Le marché couvert (qui a rouvert récemment) est une vraie immersion dans le Porto authentique. Ou alors, marche jusqu’au Jardim das Virtudes pour un dernier café avec vue. Très local, un peu caché, et parfait pour dire au revoir à la ville en douceur.

Conseils rapides pour optimiser tes 48h à Porto

• Prends de bonnes chaussures : les pavés + les montées, ça fait bosser les mollets.
• Évite les gros restos touristiques du front de mer, surtout à Ribeira.
• Teste au moins un vin de Porto : blanc, ruby ou tawny, il y en a pour tous les goûts.
• Le métro est pratique depuis l’aéroport. 2,60€, 30-40 min jusqu’au centre.

Et après ?

Porto, c’est une ville qui se vit autant qu’elle se visite. Même en 48h, tu peux en prendre plein les yeux (et les papilles). Alors, prêt·e à réserver ton week-end ? Et toi, t’as un coup de cœur à Porto ? Dis-le en commentaire !